La douceur des mots crus m’avait manqué.
C’est avec l’esprit tourmenté que ma vraie nature refait surface.
Nature des mots de la raison, saison noire ; j’aime les phases de liberté syllabaire.
Ne prendre la liberté de personne et encore moins les obliger à m’aimer…
C’est alors que les jours passent, que les heures défilent et que les esprits ne se rencontrent plus. Que tout prend place et devient limpide !
Lucide sur tous les points, je sais qu’elle te manque et tu le ressens.
Sans un mot tes yeux dérivent et ton esprit n’est plus.
En rêve, en mot, en situation et expressions à travers eux tu la palpes.
La muse s’est envolée.
Je ne suis pas si complexe ô non ! Je vis dans une simplicité…
Chiante.
Oui, je sais, mais sinon il n’y aurait plus eu de charme au fait d’être avec quelqu’un comme elle.
On n’a plus le même langage, en mode ultraviolet, le rayon X ne reconnait plus les belles couleurs de l’histoire passée.
Si tout était à refaire, je pense que pour rien au monde tu n’aurais vendu ton âme et ton cœur à mon diable.
Je ne te retiens pas…
Va.