C’est maladroit, c’est doux.
Excitant quand c’est fait à tâtons.
Ce téton que tu tritures se révolte derrière le bout de tissus le recouvrant.
Je gigote à califourchon.
Ne pas l’écraser. Elle.
Tes mains sur mes hanches.
Deux bouches qui se découvrent. Encore.
Donne ta langue, toi.
Exécute, moi.
Et cette bosse qui gonfle.
Volé en éclat !
C’est maladroit, c’est doux.
Laisse-moi te toucher. D’abord m’introduire.
Et ces vêtements qui nous compriment.
Hop debout !
Vitesse et précipitations.
Pull.
Chemise.
Jean, boxer, string.
Nu.
Comme de vers.
Verge saillante.
Et ses courbes clamant une
Ode à la luxure.
Ô combien de fois ai-je imaginé cet instant.
De toi plus moi nous prenant.
Clapotis de baiser enflammés.
Peau douce et caresses désordonnées.
C’est maladroit, c’est doux.
C’est toi et moi nous découvrant comme si c’était la première fois.