Une capitale où former sa bulle est nécessaire.
Des âmes en mal de calme cherchant un point de chute.
Les quais, quoique glauques semblent être un bon spot de recueillement.
Le temps de voir passer une ou deux péniches, être en phase avec son être.
Le temps d’oublier la frénésie des klaxons, des pneus qui crissent et du rythme métro/boulot/insomnie.
Seul ou à plusieurs, il fait bon vivre au bord de l’eau.
Malgré ses reflets gris et sa couleur verdâtre, elle possède néanmoins l’effet apaisant que procure l’eau.
Paris m’engloutit.
Paris me fait vivre.
Paris, ma scène.
La Seine m’a semé quelques gouttes d’eau que je puisse me relever et repartir d’un bon pied.
Paris, la Seine et moi
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