Plume sur tes lèvres et le poids libérateur des paroles non dites s’enfilant comme des perles nacrées.
Autour de toi, un aura soulagé.
Une situation sûrement plus gérable, quoique gênante.
L’enclume de ma vie sur tes épaules inertes et sans défense.
Je nous sens libres et libérées.
Bien que froissée à la surface de nos ego respectifs.
Égalité, quand toi, sachant où mon cœur se trouve et où mon esprit s’est bloqué.
Le corps en pâtit, nos fentes pleurant à fortes larmes de solitude.
Je t’aime d’un cœur usé qui réapprend à battre.
Je t’aime d’un coton léger que tout menace de tacher.