Jusqu’à quel point peut-on se battre pour quelque chose, s’acharner sans repos ? Ne s’arrêter que lorsque l’objet de convoitise sera atteint.
À quel moment doit-on s’arrêter ?
D’où provient cette intuition erronée ou non, qui nous pousse dans nos retranchements ? D’où résulte sa source intarissable qui nous régénère au point de devenir buté ?
Combien de fois un Homme doit-il tomber/échouer pour comprendre qu’il se trompe ? Jusqu’à combien de fois un homme qui tombe sans cesse face au même obstacle doit-il se dire « OK, je n’y arriverai pas, j’arrête ».
À quel moment la motivation, l’obstination deviennent-elles fléau et bêtise ?
Certains diront que « c’est en tombant que l’on apprend à marcher » et d’autres que « tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse ».
Serait-ce une façon d’expérimenter l’ESPOIR ? À quel moment notre quête d’espérance nous rend-elle ridicules ?
En même temps, l’espoir fait vivre…
Je me demande, je vous le demande.