Histoires de fesses, de fentes, de phallus.
Le plus de ces relations sont l’inexistence d’attachement particulier.
Tu le vois pour te faire piner, défourailler, qu’il te laisse molle et inapte à croiser les membres inférieurs.
Mais on ne choisit pas…
Soudain la peur de demain.
Ne plus avoir cette force qui te fait aller jusqu’au bout de la nuit…
Peur de perdre ta pine, ton cock, ta teub, ton toy…
L’emprise est totale, son goût dans ta bouche, ses empreintes sur ton bassin, son odeur mélanger à la tienne, ses fluides diluer aux tiens.
Ta drogue se tarit, les rencontres se font moins fréquentes et là c’est la fin.
Une page se tourne… et après ?