Il en faut peu pour être heureux dis la chanson, mais je rajouterai qu’il en faut encore moins pour partir en vrille.
C’est à vif que les blessures aiment jouer avec la couleur des émotions et des sentiments.
Un rien qui vous ramène à votre état réel qui en vain se dissimule sous une armure de faux-semblant et de simulacres.
Ce si peu qui ne cesse de vous remettre en bouche ce goût d’amertume et de tristesse.
Ces détails qui signifiaient l’essence d’un tout, une réalité pour deux.
Les maux restent les cris partent.
Et vous voilà en train de gommer des instants de vie qui sans scrupules déversent sur vous un torrent de souvenirs.
Saveurs d’autrefois, ce goût de vrai qui augure stabilité et enracinement.
Avengers
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